| - Les représentants autochtones sont invités à participer aux réunions biennales de la CMI sur l’Accord relatif à la qualité de l’eau dans les Grands Lacs.
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| - En 1987, Henry Lickers, un citoyen Haudenosaunee de la Nation sénéca, et directeur des services de l’Environnement des Mohawks d’Akwesasne, devient la première personne autochtone nommée à un conseil de la CMI.
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| - En 1998, les gouvernements du Canada et des États-Unis demandent que les nations autochtones et les intérêts locaux soient pris en compte dans la formation des conseils internationaux de bassins versants.
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| - Deux postes sont créés pour des membres autochtones au sein du Groupe d’étude sur le lac Ontario et le fleuve Saint-Laurent (2000-2005).
- Des réunions sont tenues à Akwesasne et à Tyendinaga (Ontario).
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| - Le chef Earl Klyne, de la Première nation de Seine River, se joint au Conseil de contrôle du Lac à la pluie, en 2002.
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| - En 2007, le Groupe d’étude international des Grands Lacs d’amont réserve des sièges à des représentants autochtones au sein de son Groupe consultatif sur les intérêts du public. En 2008 et 2009, deux ateliers sur les « cercles d’influence » sont organisés avec des Premières nations, à Toronto et à Bkejwanong (Walpole Island).
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| - Les Passamaquoddy et Peskotomuhkati délèguent des observateurs aux réunions du Conseil international du bassin de la rivière Sainte-Croix.
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| - En 2010, l’Étude sur la gouvernance du bassin du lac des Bois fait appel aux nations du Grand Conseil du Traité no 3, aux tribus et à la Nation métisse de l'Ontario dans le bassin hydrographique tout comme cela se fera plus tard (en 2014) pour le Plan d’étude sur la qualité des eaux du lac des Bois ainsi que pour l’Examen des courbes d’exploitation de la rivière à la Pluie et du lac Namakan (de 2015 à 2017).
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| - Plusieuts autres conseils de la CMI, dont la nouvelle mouture du Conseil de la qualité de l’eau des Grands Lacs (2012), le nouveau Conseil international du bassin du lac des Bois et de la rivière à la Pluie (2013), le Conseil international de contrôle du lac Osoyoos et le Conseil international du lac Ontario et du fleuve Saint-Laurent accueillent, pour le première fois, des membres autochtones en leur sein.
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| - En 2014, les commissaires de la CMI se rendent à Shoal Lake pour visiter le projet de dérivation de la ville de Winnipeg et pour en apprendre plus au sujet des impacts de ce projet à long terme sur les communautés de Premières Nations.
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| - Les nations autochtones des deux côtés de la frontière canado-américaine participent à des études sur les inondations dans le bassin de la rivière Souris (2017-2021) et dans le bassin versant du lac Champlain et de la rivière Richelieu (2017-2022).
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| - En avril 2017, le Conseil de la qualité de l’eau des Grands Lacs adopte des principes et pratiques de consultation des peuples autochtones, fondés sur la reconnaissance du fait que les Premières Nations, la Nation métisse et les tribus ne sont pas des « parties prenantes », mais détiennent des droits distincts en matière de gouvernance et d’autodétermination.
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| - En prévision des évaluations triennales de 2017, de 2020 et de 2023 des progrès réalisés au titre de l’Accord relatif à la qualité de l’eau dans les Grands Lacs, la CMI organise des séances d’écoute en personne destinées à entendre les peuples autochtones de Sault Ste. Marie (Ontario), d’Akwesasne (Ontario) et de Petoskey (Michigan) dans le cadre du Native American Fish and Wildlife Symposium. Celles-ci sont prolongées par des séances virtuelles.
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| - En mai 2019, la CMI accueille les membres des conseils autochtones et les contributeurs à un atelier organisé à Niagara-on-the-Lake (Ontario), afin de discuter de la façon dont la CMI pourrait plus efficacement mobiliser les peuples autochtones.
- En 2019, Henry Lickers devient le premier commissaire autochtone de la CMI.
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| - En 2019, les commissaires insistent sur la nécessité, pour la CMI, d’accorder la priorité à une consultation élargie avec les peuples autochtones et à une collaboration poussée avec ces derniers.
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| - En avril 2021, la CMI organise une rencontre virtuelle privée de deux jours avec des détenteurs de savoirs autochtones, des universitaires, des scientifiques, des praticiens des ressources hydriques, des étudiants, du personnel de la CMI et d’autres experts passionnés par la protection de nos eaux partagées. La réunion est le fruit de mois de planification et d’orientation d’un groupe de conseillers externes autochtones et non autochtones qui ont généreusement contribué à façonner son contenu et son déroulement.
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| - En novembre 2021, le Groupe d'étude international des rivières St. Mary et Milk prend un triple engagement : consulter les nations autochtones possédant des terres dans le bassin (qu’elles occupent ou pas), par l’entremise d’un groupe consultatif spécialisé; encourager la participation des principales nations concernées au forum gouvernemental de l’Étude, aux côtés d’organismes fédéraux, provinciaux et étatiques; encourager la contribution d’experts autochtones appelés à siéger aux groupes de travail techniques de l’Étude.
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| - À la suite de la collaboration initiale avec les nations autochtones dans le cadre de l’étude internationale sur la rivière Souris et des recommandations du groupe d’étude, le Conseil international de la rivière Souris met sur pied un comité consultatif autochtone et ajoute trois membres autochtones.
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| - En décembre 2023, Susan (Sue) Bell Chiblow, de la Première Nation de Garden River, est nommée commissaire de la CMI.
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