La régulation du lac Supérieur affecte les niveaux et les débits dans le cours inférieur de la rivière St Marys.
Fleuve Saint-Laurent
Fleuve Saint-Laurent
Le conseil a embauché un expert?conseil en communications pour évaluer la qualité des communications avec la population au moment de la crue des eaux en 2017.
Les niveaux d'eau historiquement bas du lac Saint-Laurent en 2018 ont suscité des inquiétudes quant à l'impact local sur les populations de poissons et leur habitat.
Le Conseil international du lac Ontario et du fleuve Saint-Laurent a produit un documentaire et de courtes vidéos qui traitent des sujets sur des détails spécifiques des pratiques et contraintes de régulation du système du lac Ontario-fleuve Saint-Laurent en période de hautes eaux.
Au cours de l'Étude internationale sur le lac Ontario et le fleuve Saint-Laurent (LOSLRS) et de l'Étude internationale des Grands Lacs d'amont (IUGLS), des indicateurs de performance des zones humides côtières ont été élaborés et utilisés pour aider à évaluer comment les changements dans les…
Les caractéristiques physiques, chimiques et biologiques uniques de la rivière St. Marys, qui est l'exutoire du lac Supérieur relié au lac Michigan-Huron en aval, assurent un environnement riche et diversifié qui constitue une ressource aquatique d'une importance vitale dans le système supérieur…
L’Analyse des précipitations au Canada (CaPA) est un système opérationnel d’Environnement Canada permettant d’obtenir des données rectangulaires sur les précipitations en temps quasi réel. Ce système, créé en avril 2011, couvre l’Amérique du Nord.
Conformément à l'objectif final fixé en 2015 de produire une prévision rétrospective quotidienne sur 30 ans et 15 km des précipitations, de l'évaporation et du ruissellement pour tous les bassins hydrographiques transfrontaliers entre le Canada et les États-Unis, ce projet se concentre sur la…
L'analyse des précipitations au Canada (CaPA) est un produit opérationnel en temps quasi réel des précipitations maillées d'Environnement Canada, disponible depuis avril 2011 pour l'Amérique du Nord.
Ce projet donnera lieu à des données détaillées sur les collectivités végétales en fonction de l’altitude et des niveaux d’eau saisonniers dans 16 terres humides côtières du lac Ontario.