L'Accord sur la qualité de l'air - Rapport d'étape 2014

Date
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La période de commentaires à pris fin le 30 juin 2015. Merci de vos commentaires. Veuillez trouver les commentaires ici

 

Cover of the 2014 Air Quality Progress Report

La Commission mixte internationale veut savoir ce que vous pensez des importants travaux exécutés dans le cadre de l’Accord sur la qualité de l’air.

- Que pensez-vous des efforts soutenus des deux pays dans leur lutte pour s’attaquer au problème de la qualité de l’air transfrontalier?

- Selon vous, à quels problèmes devrait-on accorder la plus haute priorité? Que pensez-vous de l’information contenue dans ce rapport?

- Que pensez-vous de l’information fournie dans ce rapport ?

 

La CMI vous invite à soumettre vos commentaires sur ce rapport avant le 31 juillet 2015. 
 

Vous pouvez soumettre vos commentaires en ligne ou à l’adresse ci-dessous :    

    Bureau de la Section canadienne

    Secrétaire de la Section canadienne
    Commission mixte internationale
    234, avenue Laurier Ouest, 22e étage
    Ottawa (Ontario)  K1P 6K6  Canada 

    A propos de l'Accord

    Le Canada et les États-Unis se sont engagés à réduire l’impact de la pollution atmosphérique transfrontalière en signant l’Accord sur la qualité de l’air (AQA) Canada-États-Unis de 1991.

    L’annexe sur les pluies acides, négociée en 1991 en même temps que l’accord principal, établit des objectifs précis pour réduire les émissions de dioxyde de soufre (SO2) et d’oxydes d’azote (NOX) qui causent les pluies acides. Depuis ce temps, les émissions de SO2 et de NOX ont beaucoup diminué des deux côtés de la frontière, déclins qui ont mené à une diminution de l’acidification et à une amélioration de la qualité de l’air. Par exemple, en 2010, les États-Unis ont réduit leurs émissions totales de SO2 de 67 % par rapport aux émissions de 1990 pour les sources visées, tandis que le Canada a réduit les siennes de 57 %.

    En 2000, les deux pays ont également négocié une annexe sur l’ozone, ajoutée à l’Accord. Celle-ci présente les engagements liés à la réduction des émissions de NOX et de composés organiques volatils (COV), des polluants précurseurs de l’ozone troposphérique, un important composant du smog. De 2000 à 2010, les États-Unis ont réduit de 42 % leurs émissions totales de NOX dans la région de l’ozone transfrontalier, tandis que le Canada y a réduit les siennes de 40 %.

    Ressources: